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Une abondance d’arguments environnementaux

Dans l’actuel rapport d’essai du quotidien renommé NZZ, la Seat Arona TGI réalise un excellent score avec sa propulsion au GNC. L’auteur de l’essai n’a trouvé presque aucun argument en défaveur des SUV au GNC.

Seat Arona TGI
Seat est l’un des leaders du groupe VW dans le développement de voitures au GNC telles que l’Arona TGI.

Avec son actuel rapport d’essai consacré à la Seat Arona TGI, la NZZ souhaite montrer que le GNC restera une forme de propulsion intéressante pendant de nombreuses années, même si le groupe VW ne mise plus que sur l’électrique. «Le groupe VW produira encore des voitures propulsées au gaz naturel pendant de nombreuses années.» L’article aborde également les remous autour de la stratégie de VW et la décision de mettre un terme au développement de modèles au GNC avant de constater que: «D’ici là, nous pourrons encore nous réjouir à l’idée de conduire d’autres voitures fonctionnant au gaz naturel développées par Seat.»

Il semblerait que l’auteur du test NZZ soit satisfait du SUV à propulsion au GNC qui permet au conducteur de la voiture de faire le plein de biogaz et même de rouler de façon pratiquement neutre en CO2. «Tout comme le modèle apparenté, le VW T-Cross, la voiture réagit de manière ferme mais équilibrée tout en préservant ses capacités souveraines quelle que soit la situation. Que le conducteur négocie des virages serrés à vive allure ou qu’il emprunte des rues cahoteuses en ville, le châssis de la Seat Arona TGI fait état d’un sens de la maîtrise surprenant pour un véhicule compact et qui rappelle surtout la VW Golf.»

Seat Arona TGI
Les réservoirs en acier pour le gaz comprimé sont situés sous les sièges arrière.

Concernant la propulsion au GNC, la NZZ déclare: «Ceux qui sont sceptiques vis-à-vis de la propulsion au GNC devront réviser leur opinion: le fonctionnement du moteur se révèle presque imperceptiblement plus rugueux que prévu, ce qui n’est pourtant pas dû au carburant moins cher et plus économique, mais plutôt au moteur à trois cylindres d’un litre de cylindrée qui se caractérise de toute manière par son silence. Lorsque les réservoirs de gaz naturel sont vides, la TGI bascule automatiquement sur la réserve d’essence sans pour autant compromettre le fonctionnement silencieux.»

Le passage manuel précis des vitesses confère même une certaine nervosité sportive aux trajets du quotidien. Et Herbie Schmidt, rédacteur à la NZZ, de conclure: «La Seat Arona TGI délivre toute une série d’arguments environnementaux et débarrasse largement les conducteurs de SUV de leur mauvaise conscience. Nonobstant la capacité limitée du coffre, la Seat fonctionnant au gaz naturel peut se targuer de maints avantages, son prix figurant d’ailleurs en bonne place parmi eux. La Seat Arona TGI est même encore moins chère grâce à des primes à quatre chiffres actuellement en vigueur. Y a-t-il des arguments en défaveur de la Seat GNC? Presque aucun». (jas, le 20 avril 2020)

Pour lire le rapport d’essai détaillé de la NZZ (en allemand), consultez la page suivante:

https://www.nzz.ch/mobilitaet/auto-mobil/seat-arona-tgi-im-test-erdgasantrieb-und-keiner-hats-gemerkt-ld.1551584

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